IMAGINAIRE


Englouti dans le son de mon cri
Ne peux cesser pour la crainte de nuits muettes
Oh comme je me hâte pour le rêve du profond sommeil
La déesse de la lumière imaginaire

Dans mon champ de fleurs en papier
Et des nuages bonbons de la berceuse
Je m'allonge en moi-même pendant des heures
Et regarde mon ciel pourpre voler au dessus de moi

Je m'attarde au seuil de la porte
D'un réveil criant
Des monstres appelant mon nom
Laisse-moi rester
Là où le vent me chuchotera
Là où les gouttes de pluie
Comme elles tombent racontent une histoire

Si tu as besoin de quitter le monde où tu vis
Pose ta tête et reste un peu
Bien que tu ne puisses pas te souvenir du rêve
Quelque chose t'attend pour respirer à nouveau

Traduit par ¤ Weeping Faeri ¤






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